ma-vie-vos-insultes
Même si j’ai reçu comme prime une flopée de nouvelles tenues trois jours auparavant, quand je passe devant cette boutique, je ne peux m’empêcher d’y entrer pour essayer cette robe blanche exposée
dans la vitrine. Il faut dire que la saison approche pour exposé cette robe semble t il, c’est certainement pour cela que j’ai eu l’attention attirée. C’est une longue robe blanche totalement
boutonnée sur le devant, une vraie robe d’été. Toujours est il que même si ce n’est pas le moment, j’entre dans la boutique pour au moins l’enfilée et voir si elle me va bien.
Il n’y a personne dans la boutique quand j’y entre sauf bien sur la vendeuse qui est occupée à faire un peu de rangement. C’est une femme de 25 ans mince assez petite et aux longs cheveux blonds
et lisses. Elle est finement maquillée et vêtue d’une jupe relativement courte et d’un chemisier. Quand elle me voit, elle s’approche de moi :
- - « Bonjour madame, puis je vous aidée ? »
- - « Je voudrais essayer cette robe en vitrine s’il vous plait. »
Après m'avoir détaillée, la jeune vendeuse part dans la réserve et revient avec dans sa main la robe convoitée. Elle me la donne en m’indiquant ou se trouve les cabines. Quand je me trouve isolée, je me déshabille totalement et enfile uniquement la robe, je n’ai rien d’autre sur moi quand je sors pour me regarder dans la lumière de la boutique. La vendeuse vient vers moi et m’attire un peu plus loin avant de se reculer pour me regarder. Je remarque dans le miroir qui se trouve derrière la jeune vendeuse que la robe est vraiment très transparente. On voit clairement mes formes au travers mais ce n’est pas pour me déplaire. La vendeuse s’approche de moi, s’accroupit pour tâter la robe et voir si la taille correspond parfaitement. Elle en profite pour me peloter négligemment. Comme je ne réagis pas négativement, les caresses se font de plus en plus pressantes et précise pour se rendre compte que je suis totalement nue sous cette robe. La jeune femme qui d’après son badge se prénomme Catherine m’oriente subtilement vers l’arrière boutique. En fait d’arrière boutique, il s’agit plutôt d’un petit bureau sur le quel il y a quelques catalogues et divers documents ainsi qu’une tasse. En fait cette pièce sert visiblement autant de bureau que de réfectoire voir même de lieu de stockage au vu des caisses disposées contre le mur de gauche.
- - « Cette robe vous va à ravir. »
- - « Merci, je pense que je vais l’achetée. »
La jeune vendeuse pose les mains sur moi et détache la robe lentement bouton par bouton en commençant par celui du dessus. Le vêtement devient décolleté puis très décolleté avant de dévoilé totalement ma poitrine puis mon ventre et enfin mon sexe épilé. Quand elle est totalement détachée, Catherine s’accroupis et avec son doigt commence à titiller mes parties intime alors je m’assied sur la table qui se trouve derrière moi. J’ouvre largement les cuisses pour facilité le passage aux mains de la vendeuse qui plonge la tête entre mes jambes. Sa langue s’insinue entre mes lèvres humides ce qui me fait gémir. Catherine m'aspire doucement le clito qu’elle suçote délicatement en fourrant un doigt dans mon sexe de plus en plus trempé. Il glisse tellement facilement qu’elle en met un deuxième puis un troisième qu’elle agite de plus en plus rapidement. Je suis à la limite de la jouissance alors elle se redresse et inverse sans peine les positions. C’est maintenant la vendeuse qui se trouve sur le bureau et c’est moi qui après lui avoir retiré sa culotte ai le visage plongé entre ces cuisses. Je lui écarte les lèvres avec les mains et lui fourre la langue le plus loin possible dans la chatte. Catherine gémit très fort alors je me redresse et lui fourre deux doigts dans la foufoune. Je suis maintenant debout devant la jeune vendeuse occupée à la masturbée d’une main en la regardant dans les yeux et en lui fourrant deux doigts de l’autre main dans la bouche. Je m’agite frénétiquement pour la faire jouir jusqu'à ce que cette fois, Catherine se dégage. Je comprend que c’est un jeu de soumission qui se met en place, qui dominera l’autre, qui sera la maitresse de l’autre ?
Tout naturellement, ça devrait être moi car je suis dans la vie plutôt soumise avec mes amants ou maitresse mais cela s’instaure naturellement, ici, il y a combat, lutte pour le titre et c’est un jeu auquel j’aime aussi jouer mais le tout est toujours de savoir jusqu’ou on peut aller sans connaître sa partenaire comme c’est le cas aujourd’hui. Catherine se redresse, m’attrape par les cheveux pour se dégager de mon emprise puis approche ses lèvres et me roule une pelle en me fourrant à nouveau un doigt sans ménagement. Je mouille comme une fontaine, ce petit jeu m’excite de plus en plus et j’ai envie de gagner. Je commence à comprendre que la vendeuse a la même philosophie que moi, ça doit aussi être une femme assez soumise dans la vie mais qui aime jouer. Nos baisers sont longs et chauds, nos salives se mélangent. On se doigte maintenant toute les deux en s’embrassant. nos souffles s’accélèrent, on va jouir à l’unisson. Après ce combat sexuel qui se termine par un match nulle, je me positionne pour pouvoir vraiment jouir ensemble. La position du 69 sur le sol est parfaite pour cela. C’est moi qui m’installe sur le dos et Catherine par dessus. on se lèche toute les deux, on se met trois doigts et on les agite de plus en plus frénétiquement pour se faire jouir l’une l’autre. Il ne faut pas attendre longtemps avant que dans un gémissement commun, on ne s’affale, comblée par l’intensité du moment qu’on vient de vivre ensemble.
Avant de quitter la boutique avec la robe soigneusement emballée dans un sachet sous le bras, je laisse mon numéro de portable à Catherine, on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve. Le vendeuse a quand même pris soin de me précisé qu’elle n’est pas bi et que les hommes ne l’attirent pas du tout. Il n’y a qu’avec les femmes qu’elle prend son pied.
