Non catégorisé

Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 12:21

Un collègue, Jean, est amateur de voiture ancienne, surtout les petites deux place du genre MG. Il en avait vu une à vendre et avait été l’essayée. Lors de cet essais, Jean avait pu constater que le vendeur, un homme bedonnant d’une septantaine d’année était très porté sur la gente féminine. En effet, pendant la petite balade qu’il avait fais ensemble, le vendeur n’avait cessé de faire des commentaires à chaque fois qu’il voyait une femme sur le trottoir. mon collègue s’est alors dit qu’il serait bon de se faire accompagné d’une femme pour négocier l’achat de cette voiture. 

Samedi vers 10h00 du matin, Jean arrive chez le vendeur en ma compagnie. Bien sur, étant au courant du subterfuge, j’ai veillé à ce que ma tenue vestimentaire ne laisse pas indifférent le propriétaire de la voiture. Dès notre arrivée, je constate que je produis l’effet prévu. En effet, les compliments n’ont pas tardé lorsque Jean m’a présentée et les regards du vendeur étaient déjà très appuyés. 

  • -  « Mon amie voudrait pouvoir essayer la voiture ? »
  • -  « Vous savez que je ne laisse personne partir avec la voiture alors si elle veut l’essayer, je l’accompagne. »
    je regarde alors le vieux monsieur bedonnant et lui dit :

- « Ou est le problème, mon ami nous attendra ici. »
Je monte dans la voiture assez basse et ma jupe déjà très courte remonte encore au dessus de la limite de mes bas autos portant. Lorsque le vendeur monte a son tour dans la voiture, la vue que je lui offre ne lui échappe pas et il me matte sans vergogne tel un vieux cochon. Mon chemisier est largement ouvert et je sais que de la ou il se trouve, il peut aussi apercevoir le galbe de mes seins nu. Je sais que je fais de l’effet au vieux porc qui m’accompagne et ça m’excite. Pendant les deux ou trois premiers kilomètres, le vieil homme ne manque pas une occasion de faire une allusion cochonne et ses yeux restent braqués sur moi sans arrêt. Ensuite, il s’enhardi et pose une main sur ma jambe et je ne réagis pas, je le laisse faire. Il me caresse et monte de plus en plus haut avec sa main. 

  • -  « Alors, ça te plait de me pelotée vieux cochon ? »
  • -  « Oui et je sens que toi, tu es une petite salope. »
    Il prononce cette phrase en découvrant que je ne porte pas le moindre sous vêtement sous ma mini jupe. Sa main monte alors encore plus haut pour arriver a mon sexe dans le quel il fait entrer deux doigts. Maintenant, il me trifouille avec beaucoup d’agilité et d’expérience. Pendant ce temps, il est penché et a presque la tête dans mes nibards. Il est tellement assidu et excité par ce qu’il fait que le vendeur ne se rend même pas compte qua nous sommes revenus à notre point de départ. La voiture arrêtée, mon collègue regarde par la fenêtre ce qui se passe à l’intérieur de l’habitacle. Quand le vieil homme tout en sueur s’en rend compte, il s’arrête, extrêmement mal à l’aise et sort de la voiture sans savoir que dire. C’est le collègue qui prend la parole pour le soulager en disant :
  • -  « Alors, elle vous plait ma salope de copine ? »
  • -  « Ho putain oui, elle est vraiment bonne. »
    Sachant qu’il faut jouer mon rôle de couple à fond, je sors de la voiture, m’approche de Jean et je lui roule une pelle d’enfer tout en posant ma main sur sa queue pour la caresser un peu. Le vieux vendeur regarde la scène envieux et n’en rate pas une miette. Je dis alors à mon compagnon pour quelques heures : 
  • -  « J’adore cette voiture, elle est géniale, on l’achète ? »
  • -  « Je voudrais bien te faire plaisir chérie mais monsieur en demande un peu beaucoup. »
    Je me tourne vers le vendeur et lui lance un regard de véritable salope vicieuse ce qui trouble le vieil homme au plus haut point.

- « On peut peut-être s’arranger, suivez moi. »
Jean et moi le suivant dans la maison et on s’installe dans un vieux canapé en tissus usé. Le vieux monsieur s’installe juste en face de nous et Jean prend la parole : 

  • -  « Vous avez dit que nous pourrions peut-être nous arranger ? »
  • -  « Vous savez, j’ai septante ans et depuis toujours, j’aime lécher les chattes des femmes. Malheureusement, à mon âge les occasions se font tellement rares. » En entendant ces paroles, je n’hésite pas une seule seconde, j’ouvre largement les cuisses sous les yeux ébahi de mon collègue.

- « Alors vient me lécher puisque c’est ce que tu veux vieux porc. »
Le vendeur se précipite avec une agilité surprenante pour son âge en bas de son fauteuil et se retrouve très vite à genoux, la tête plongée entre mes cuisses. Pendant que l’un faisait minette, l’autre, Jean passe ses mains dans mon chemisier pour me tripoter les seins. Je mouillais comme une folle de me faire lécher de la sorte par un gros porc pendant que mon collègue me pelote. Profitant de la situation, Jean sort sa queue et la colle sans ménagement dans ma bouche et je ne peut rien faire d’autre que de me laisser faire. Aucun mouvement n’est possible pour moi alors c’est Jean qui fait lui-même les mouvements de vas et vient, qui baise ma bouche en disant : 

- « Suce salope. »
Ces paroles ont pour effet de faire lever la tête du vendeur qui voit que j’ai une bite dans la bouche. Une excitation hors norme s’empare de lui car c’est la première fois qu’il lèche une femme pendant que celle-ci suce la queue d’un autre homme alors il s’écrie : 

- « Quelle petite pute. »
Il se redresse et sort sa queue fripée de son pantalon pour se branler rapidement. J’en profite pour changer de position de manière à pouvoir sucer mon collègue avec application devant les yeux du vieux porc tout excité. Après quelques minutes de fellations en jetant de temps à autres un regard vicieux vers le vieil homme, Jean jouit dans ma bouche. Il décharge tellement que je me demande depuis quand il ne s’est plus vidé les couilles. Le sperme coule le long de mes lèvres et de mon menton pourtant je tente d’en avaler le plus possible mais la quantité est vraiment trop grande. Quand je me tourne vers le vendeur la bouche engluée, celui-ci décharge aussi mais beaucoup moins. Juste une petite coulée le long de sa pine mais je vois dans ces yeux qu’il prend son pied.
L’affaire s’est conclue dans une bonne ambiance et les deux parties ont trouvé leur bonheur. J’ai quand même avoué au vieux monsieur que Jean n’est qu’un collègue. Il s’en fou, il a vécu un moment inoubliable et il ne regrette rien. 

Allez c est partit(1)
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Vendredi 8 avril 5 08 /04 /Avr 16:13

Même si j’ai reçu comme prime une flopée de nouvelles tenues trois jours auparavant, quand je passe devant cette boutique, je ne peux m’empêcher d’y entrer pour essayer cette robe blanche exposée dans la vitrine. Il faut dire que la saison approche pour exposé cette robe semble t il, c’est certainement pour cela que j’ai eu l’attention attirée. C’est une longue robe blanche totalement boutonnée sur le devant, une vraie robe d’été. Toujours est il que même si ce n’est pas le moment, j’entre dans la boutique pour au moins l’enfilée et voir si elle me va bien.
Il n’y a personne dans la boutique quand j’y entre sauf bien sur la vendeuse qui est occupée à faire un peu de rangement. C’est une femme de 25 ans mince assez petite et aux longs cheveux blonds et lisses. Elle est finement maquillée et vêtue d’une jupe relativement courte et d’un chemisier. Quand elle me voit, elle s’approche de moi : 

  • -  « Bonjour madame, puis je vous aidée ? »
  • -  « Je voudrais essayer cette robe en vitrine s’il vous plait. »
    Après m'avoir détaillée, la jeune vendeuse part dans la réserve et revient avec dans sa main la robe convoitée. Elle me la donne en m’indiquant ou se trouve les cabines. Quand je me trouve isolée, je me déshabille totalement et enfile uniquement la robe, je n’ai rien d’autre sur moi quand je sors pour me regarder dans la lumière de la boutique. La vendeuse vient vers moi et m’attire un peu plus loin avant de se reculer pour me regarder. Je remarque dans le miroir qui se trouve derrière la jeune vendeuse que la robe est vraiment très transparente. On voit clairement mes formes au travers mais ce n’est pas pour me déplaire. La vendeuse s’approche de moi, s’accroupit pour tâter la robe et voir si la taille correspond parfaitement. Elle en profite pour me peloter négligemment. Comme je ne réagis pas négativement, les caresses se font de plus en plus pressantes et précise pour se rendre compte que je suis totalement nue sous cette robe. La jeune femme qui d’après son badge se prénomme Catherine m’oriente subtilement vers l’arrière boutique. En fait d’arrière boutique, il s’agit plutôt d’un petit bureau sur le quel il y a quelques catalogues et divers documents ainsi qu’une tasse. En fait cette pièce sert visiblement autant de bureau que de réfectoire voir même de lieu de stockage au vu des caisses disposées contre le mur de gauche.
  • -  « Cette robe vous va à ravir. »
  • -  « Merci, je pense que je vais l’achetée. »
    La jeune vendeuse pose les mains sur moi et détache la robe lentement bouton par bouton en commençant par celui du dessus. Le vêtement devient décolleté puis très décolleté avant de dévoilé totalement ma poitrine puis mon ventre et enfin mon sexe épilé. Quand elle est totalement détachée, Catherine s’accroupis et avec son doigt commence à titiller mes parties intime alors je m’assied sur la table qui se trouve derrière moi. J’ouvre largement les cuisses pour facilité le passage aux mains de la vendeuse qui plonge la tête entre mes jambes. Sa langue s’insinue entre mes lèvres humides ce qui me fait gémir. Catherine m'aspire doucement le clito qu’elle suçote délicatement en fourrant un doigt dans mon sexe de plus en plus trempé. Il glisse tellement facilement qu’elle en met un deuxième puis un troisième qu’elle agite de plus en plus rapidement. Je suis à la limite de la jouissance alors elle se redresse et inverse sans peine les positions. C’est maintenant la vendeuse qui se trouve sur le bureau et c’est moi qui après lui avoir retiré sa culotte ai le visage plongé entre ces cuisses. Je lui écarte les lèvres avec les mains et lui fourre la langue le plus loin possible dans la chatte. Catherine gémit très fort alors je me redresse et lui fourre deux doigts dans la foufoune. Je suis maintenant debout devant la jeune vendeuse occupée à la masturbée d’une main en la regardant dans les yeux et en lui fourrant deux doigts de l’autre main dans la bouche. Je m’agite frénétiquement pour la faire jouir jusqu'à ce que cette fois, Catherine se dégage. Je comprend que c’est un jeu de soumission qui se met en place, qui dominera l’autre, qui sera la maitresse de l’autre ? 

Tout naturellement, ça devrait être moi car je suis dans la vie plutôt soumise avec mes amants ou maitresse mais cela s’instaure naturellement, ici, il y a combat, lutte pour le titre et c’est un jeu auquel j’aime aussi jouer mais le tout est toujours de savoir jusqu’ou on peut aller sans connaître sa partenaire comme c’est le cas aujourd’hui. Catherine se redresse, m’attrape par les cheveux pour se dégager de mon emprise puis approche ses lèvres et me roule une pelle en me fourrant à nouveau un doigt sans ménagement. Je mouille comme une fontaine, ce petit jeu m’excite de plus en plus et j’ai envie de gagner. Je commence à comprendre que la vendeuse a la même philosophie que moi, ça doit aussi être une femme assez soumise dans la vie mais qui aime jouer. Nos baisers sont longs et chauds, nos salives se mélangent. On se doigte maintenant toute les deux en s’embrassant. nos souffles s’accélèrent, on va jouir à l’unisson. Après ce combat sexuel qui se termine par un match nulle, je me positionne pour pouvoir vraiment jouir ensemble. La position du 69 sur le sol est parfaite pour cela. C’est moi qui m’installe sur le dos et Catherine par dessus. on se lèche toute les deux, on se met trois doigts et on les agite de plus en plus frénétiquement pour se faire jouir l’une l’autre. Il ne faut pas attendre longtemps avant que dans un gémissement commun, on ne s’affale, comblée par l’intensité du moment qu’on vient de vivre ensemble. 

Avant de quitter la boutique avec la robe soigneusement emballée dans un sachet sous le bras, je laisse mon numéro de portable à Catherine, on ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve. Le vendeuse a quand même pris soin de me précisé qu’elle n’est pas bi et que les hommes ne l’attirent pas du tout. Il n’y a qu’avec les femmes qu’elle prend son pied. 

112F(2)
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Dimanche 20 mars 7 20 /03 /Mars 12:50

J'aime aguicher les hommes c'est tres excitant mais je ne me limite pas aux hommes

054(1)

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Vendredi 25 février 5 25 /02 /Fév 12:40

Il vient à peine d’arrivé que le patron d’une boite de matériel électronique qui occupe l’immeuble m’appelle dans son bureau : 

- « Sonia, j’ai un service à te demander ? »
Il y a de nombreuses années qu’il me connaît, il m’a connu en tant uniquement qu’hôtesse d’accueil et maintenant, il me demande d’organiser les différents évènements dont il a besoin telle que présence lors de salon ou encore réunion et colloque voir même voyage d’affaire. Ici pourtant, c’est un tout autre problème qui le préoccupe. 

  • -  « Je vous écoute. »
  • -  « Nous avons un problème de livraison qui prend beaucoup de retard et la société qui a passé la commande s’impatiente, pourrais tu les rencontrer pour gagner du temps et
    calmer le jeu ? »
  • -  « Ce n’est pas vraiment dans mes attributions ni même dans mes capacités. »
  • -  « Fais le pour moi, je suis certain que contrairement à ce que tu dis, c’est dans tes
    capacités.
  • -  « Ok, je veux bien tenter le coup. »
  • -  « Très bien, je t’obtiens un rendez vous, tu as carte blanche. »
    Quand je sors du bureau, je me demande comment je vais pouvoir convaincre cette entreprise lésée de renoncer à demander des indemnités car c’est bien de cela qu’il s’agit. Après tout, je n’ai rien à perdre, j’ai prévenu et si ça ne marche pas, ce n’est pas moi qui ai demandé à prendre cette responsabilité.
    Deux heures plus tard, le téléphone sonne à l’accueil.

- « Voila, tu as rendez vous à 13h00. » 

Après avoir précisé l’adresse et quelques arguments technique, le patron raccroche le téléphone, confient en mes capacités.
A 13h00 exactement, je me présente à l’adresse convenue. Une femme d’une bonne quarantaine d’année l’air sévère vient m’ouvrir la porte. Elle est vêtue comme la parfaite secrétaire, tailleur qui arrive juste au dessus du genou, petite lunette ronde et coiffure parfaite. Elle est stricte ce qui contraste assez fort avec ma tenue qui est comme d’habitude sexy et provocante. 

- « Vous êtes ponctuelle, c’est très bien. »
J’entre et découvre un grand bureau moderne avec une immense fenêtre donnant une vue splendide sur la ville. Sur la gauche, un énorme miroir occupe presque tout le mur. 

  • -  « Vous vous rendez compte que le retard de fourniture de vôtre entreprise nous met dans une position très inconfortable ? »
  • -  « Oui Madame et c’est d’ailleurs pour cette raison que je suis présente ici, pour que nous trouvions une solution à l’amiable. »
    Je
    sens le regard inquisiteur de la secrétaire sur moi. Cette femme n’hésite pas à me détaillée de la tête au pied sans la moindre discrétion. Ce n’est pas le genre de chose qui me dérange, bien au contraire, on pourrait même dire que ça m’excite d’être matée de la sorte.

- « Jusqu’ou votre entreprise est elle prête à aller pour régler le problème. » 

  • « J’ai carte blanche dans une certaine mesure mais je peux toujours les consulter le cas échéant. » 
  • La secrétaire qui s’approche de plus en plus de moi et n’est plus maintenant qu’a quelque centimètre de moi. Elle est maintenant tellement proche que je sens son souffle sur mes lèvres. 
  • -  « Et vous, jusqu’ou êtes vous prête à aller ? »
  • -  « J’irais jusqu’ou il faudra pour aplanir ce petit contre temps. » La quadragénaire sourit et pose ces mains sur mes hanches.
  • -  « Vous allez beaucoup plaire à mon patron. »
  • -  « Vous croyez ? »
    Je ne fait pas le moindre mouvement de recul, je ne suis même pas réticente aux caresses sur les fesses que me prodigue la secrétaire. Maintenant elle me pince les fesses en disant :

- « Vous avez l’air bien foutue, j’aimerais en voir plus. »
Je me recule un peu et détache mon chemisier pour dévoiler ma poitrine nue dessous. La quadragénaire avant une main et caresse mes seins maintenant découvert. L’effet est immédiat et on le constate facilement en voyant mes bouts grossir. Maintenant elle avant sa bouche et les suce doucement tout en passant une main sous ma mini jupe. Elle arrive immédiatement à mon clito qu’elle fait rouler entre ses doigts en même temps. Je me recule un peu pour prendre appuis sur le bureau et ouvre plus grand les jambes. Je sens un doigt puis deux entrer dans ma chatte et s’y agiter frénétiquement jusqu'à me faire jouir dans un petit gémissement de plaisir contenu. Suite à cela, la secrétaire se redresse, me regarde dans les yeux et dit : 

  • -  « Tu aime te faire enculée ? »
  • -  « Hum oui, j’aime m’en prendre dans le cul. »
  • -  « Ca aussi ça va plaire à mon patron......Tourne toi. »
    Je m’exécute en me cambrant un peu pour bien montrer mon cul moulé dans un petit morceau de tissus que la secrétaire ne tarde pas à remonter avant de caresser doucement mes fesses ainsi dévoilées. Elle les tripote et les écarte pour découvrir ma rondelle offerte. Elle laisse couler de la salive que sens couler jusqu'à ma rosette que je me fait tripoté doucement. La quadragénaire ne tarde pas à foutre un doigt dans mon cul puis un deuxième et à s’y agiter comme elle l’avait fait dans ma chatte. Je ne tarde pas à pousser des petits gloussements de plaisir ce qui provoque une agitation encore plus rapide des doigts qui se trouvent dans mon cul. Je finis par jouir pour la deuxième fois déjà.

- « Reste comme ça, ne bouge pas, maintenant que tu es prête mon patron va arriver. » Je reste sans bouger, le derrière le plus cambré possible, excitée par la situation que je suis entrain de vivre en ce moment. La porte du bureau s’ouvre et c’est maintenant visiblement le patron qui entre. Il a une bonne cinquantaine d’année, un peu bedonnant, des cheveux très court. Il s’approche en détachant son pantalon et sans dire le moindre mot. Il plante sa pine à l’entrée de mon trou du cul et d’un coup sec s’y enfonce sans la moindre délicatesse. En me tenant par les hanches, il m’encule à un rythme de plus en plus soutenu. Il ne dit pas un mot et se contente de gémir à chaque coup de rein qu’il donne. Quand il arrive au bord de la jouissance, il se retire pour se vider les couilles dans un râle de plaisir sur mes fesses dévoilées. Ensuite, sans prendre attention, il abaisse ma jupe sur mon cul souillé et en met forcément plein le tissu. 

  • -  « Je pense que le problème est résolu mademoiselle. »
  • -  « Merci Monsieur. »
  • -  « J’écrirais à vos patron pour leur venter votre travail car ce n’est qu’à vous qu’ils doivent cet arrangement. »
     

Je salue ce patron avec qui il est finalement facile de s’entendre et m’apprête à partit lorsque celui-ci la rappelle : 

  • -  « Vous voyez ce miroir ? »
  • -  « Oui, il est immense. »
  • -  « C’est un miroir sans teint, je vous ai regardé avec ma secrétaire. »
  • -  «Et ça vous a plu?»
  • -  « Oui énormément tout comme je suis certain que ma secrétaire à aimé me regarder vous enculer. »
    Il souriait d’un air extrêmement satisfait de lui-même et des révélations qu’il venait de faire. je n’etais pas vraiment étonnée de cet aveux et en réalité, j'aurais même aimé le savoir avant, j’en aurait peut être même fait encore plus pour les excité tout les deux. Sur le chemin du retour, une pensée me fait sourire : je vient de régler un litige avec mon cul, c’est le moins qu’on puisse dire.
    Quand j’entre dans le bureau du patron de la boite d’électronique qui m’avais envoyé à ce rendez vous tout compte fait très excitant, celui-ci m’accueille avec un grand sourire et vient me félicité. Il avait déjà reçu un mail de la part du boss avec qui il avait évité le conflit.
  • -  « Sonia, tu es formidable, tu l’as convaincu, je te revaudrais ça, tu as droit à une belle prime. »
  • -  « Merci mais ça n’a pas été trop difficile. Quand on est quelqu’un d’ouvert, on s’arrange toujours. »
    je savais ce que je disais et ne croyais pas si bien dire. Il faut toujours exprimer la vérité même quand les autres ne s’en rendent pas compte. 

060C(1)

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Samedi 19 février 6 19 /02 /Fév 13:54

Je suis ravie d’avoir reçu le coup de téléphone de Denis, un amant de jeunesse qui viens une petite semaine dans la région. Par chance mon mari travaille le samedi matin alors je dis a mon copain de venir a ce moment. je sais que je passerai du bon temps.
Quand j’ouvre la porte 10 minutes après le départ de Patric, Denis se trouve devant moi. Je l’aurais reconnu même 15 ans plus tard. Il est toujours aussi grand, des yeux d’un bleu profond et la même coupe de cheveux qu’a l’époque. En fait, il n’a pas tellement changé a part quelques rides apparues au fil du temps. J’ai mis cette robe moulante pour sa venue. mon copain n’a pas tardé à comprendre le genre de moment que je veux revivre alors il me prend dans ses bras avant même de dire un mot et me roule une pelle dans le hall d’entrée de la maison. Nous nous étreignons quelques minutes avant de décoller nos lèvre et enfin se dire bonjour. 

  • -  « Tu es ravissante, tu n’a pas changée......et de caractère non plus visiblement. »
  • -  « J’aime toujours autant le sexe, c’est vrais même si je suis mariée. »
    En prononçant ces paroles, je pose la main sur le sexe de mon ami par-dessus son pantalon. Les hostilités étaient déjà lancée et je sais aussi qu’il ne faut pas trainer, on a que la matinée pour se faire plaisir. Sans lui proposer de prendre un verre, je l’emmène à l’étage, dans ma chambre. Denis me prend à nouveau dans ses bras pour m’embrassée mais cette fois ces mains sont bien plus baladeuse. Elles remontent le peignoir qui ne cache rien de mon anatomie. Il me caresse en commençant par mon cul qu’il pelote sans vergogne. Il me malaxe les fesses en les écartant. je ne suis pas en reste, je pose ma main sur la queue de mon amant que je masse et que je serre entre mes doigts au travers du tissus tendu. Ensuite, je m’abaisse pour détacher ce pantalon et en sortir une colonne de chair que ne demande qu’a être sucer. Je lèche doucement les couilles de Denis avant de m’attaquer à sa pine que je suce goulument après l’avoir humidifiée de ma langue avide. Je le pompe de plus en plus rapidement en lui malaxant les burnes jusqu’à ce qu’il se retire de ma bouche pour me pousser sur le lit et se jeter sur ma chatte trempée. Il m’ouvre les grandes lèvres pour pousser sa langue dans mon sexe. Il me suce le clito doucement en me mettant un doigt. la tête en arrière je gémis et me trémousse de plaisir quand j'entend une voiture qui s’arrête dans l’allée. Je lui demande de s’arrêter pour écouter plus attentivement et on entend tout les deux la porte d’entrée s’ouvrir. Un vent de panique souffle dans la chambre. Je fais signe à mon amant en silence de se cacher dans l’énorme penderie qui se trouve contre le mur de la chambre. J’entend la voix de mon mari qui m’appelle en me disant qu’il a oublié son portefeuille dans la chambre. J’attrape en vitesse un gode dans la table de nuit et me l’enfile comme si je n’avait pas entendu mon mari arrivé. Quand il ouvre la porte de la chambre, il me découvre couchée nue sur le lit, un vibro dans la grotte de plaisir, occupée à me faire jouir :
  • -  « Hum alors on joue sans moi ? »
  • -  « Ho, mais qu’est ce que tu fais là ? » 

En jouant la femmes surprise, je retire le sexe toys de son emplacement et ferme les cuisses que j’avais grande ouverte quelques secondes avant. Patric me regarde en sourient et détache son pantalon : 

- « J’ai oublié mon portefeuille mais je vais remplacer ce truc de caoutchouc avant de repartir. » 

Quand il abaisse son pantalon et son caleçon, je constate qu’il bande comme un âne alors je lui fait signe de venir 

  • -  « hum oui, vient vite me baiser avant de repartir, c’est a toi que je pensais. »
  • -  « Mais j’espère bien ma chérie. »
    Il monte sur le lit, je l’attend, les cuisses grandes ouvertes. Il se place et me pénètre d’un coup sec avant d’entamer des mouvements de vas et vient très rapide. Pendant qu’il me baise je gémis très fort et très bruyamment.

- « Vas y, baise moi, défonce moi, j’aime ça, oui plus vite. »
Je criais en prenant ma voix la plus chienne possible.
Denis, debout dans la placard m’écoute, la queue à la main, il bande et se branle en m’entendant me faire baisée par mon mari.
Patric donne des coups de butoir de plus en plus fort et de plus en plus loin puis d’un coup, il éjacule dans mes entrailles. Après m’avoir donné un tendre baiser, il prend son portefeuille et s’en va, me laissant couchée et offerte sur le lit, les cuisses toujours grandes ouvertes. C’est quand il entend la voiture démarrer que Denis sort de la penderie et me voit allongée sur le dos, la chatte dégoulinante du sperme de mon mari. Il est excité par cette vision et vient immédiatement, sans le moindre préambule planté sa queue dans ma moule grande ouverte. Il y entre sans la moindre difficulté et sens le foutre de l’autre homme sortir et couler sur ses couilles. 

  • -  « Tu le faisais exprès de gueuler pour m’exciter, salope va. »
  • -  « hum oui, a ton tour maintenant, baise moi. »
    j’ai la voix excitée et chaude. Une voix d’envie rapide, de besoin même. J’ai jouit une première fois avec mon homme et j’en veux encore avec celui-ci. Je sens qu’il bande dur et j’aime me faire limer de la sorte, de plus en plus rapidement mais j’ai envie de jouir autrement :
  • -  « Tu veux m’enculée ? »
  • -  « hum tu la veux dans ton cul ? »
  • -  « Oui, fou la moi dans le derrière, j’adore. »
    Denis se retire et je me retourne pour lui offrir une vue imprenable sur ma croupe. Je tortille du cul comme je sais si bien le faire. Il prend avec son doigt un peu de foutre qui s’écoule encore de cette chatte inondée et lubrifie le petit trou dans le quel il met un doigt. Il constate avec plaisir que je suis déjà bien ouverte et prête à encaisser. Il présente son gland à l’entrée de ma rondelle et d’un coup de rein s’enfonce en moi sans ménagement.
  • -  « Tu es encore plus salope qu’il y a 15 ans toi. »
  • -  « hum oui, défonce moi le cul, vas y. »
    Sachant l’effet que produisent mes gémissements et mes commentaires sur mon copain, je ne me prive pas pour en faire et surtout pour gémir très fort. En me maintenant fermement par les hanches, il entre et sort partiellement de mon derrière accueillant. Le rythme s’accélère de plus en plus, lui aussi grogne de plus en plus fort témoignant ainsi de l’imminence de son éjaculation. D’un coup je sens le liquide chaud se répandre dans mes entrailles. Je touche les couilles de mon amant, je les sent plus molles maintenant. Quand il se retire, je m’affale sur le lit. Il ne tarde pas à me rejoindre. On s’observe un bref instant, tout deux comblé du moment de plaisir qu’on venait de passer. Maintenant, nous pouvons prendre un verre ensemble, on a tout notre temps car même si Denis est encore présent quand mon mari rentrera, je pourrai le présenter comme étant un ami de jeunesse, ce qui est parfaitement vrais. Il n’y aura plus à mentir et plus rien d’équivoque. Après avoir évoqué quelques souvenirs, mon copain tient quand même à quitter la maison avant le retour de mon mari. Quand il reviendra dans la région, il ne manquera pas de me contacter pour se retrouver une fois encore dans un moment de plaisir intense mais ailleurs cette fois pour ne plus être interrompu même si cet imprévu a apporté une source d’excitation supplémentaire et a contribué à une jouissance encore plus grande. Il est certain que les risques et le danger provoque une montée d’adrénaline et donne à la jouissance et au plaisir une dimension supplémentaire. C’est probablement le goût du risque en plus de l’amour du sexe qui me pousse dans les bras d’autres hommes régulièrement.

022(2)

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