Je suis encore seule ce soir, Patrick est au foot, il a été invité par une firme avec la
quelle il travail régulièrement alors ce genre d’invitation ne se refuse pas surtout pour un amateur de ce sport.
Heureusement, Zénon, un copain m’a proposé de sortir danser ce soir. J' en ai parlé à Patrick et comme il connaît Zénon, il ne voyait pas d’inconvénient à ce que je sorte avec lui pour aller
danser.
Je me prépare quand mon mari est parti. Je m’habille de manière super sexy car j’ai encore envie de faire bander des hommes ce soir. Il est probable que mon mari sera encore cocu ce soir, une fois de plus. Je tente quelques minutes de compter le nombre de fois qu’il a pu l’être mais je renonce très vite devant l’ampleur de la tâche qui m’attend si je m’acharne a vouloir comptabiliser mes amants d’un soir.
Il est 21h00 quand mon ami se présente à ma porte pour venir me chercher. Quand je lui ouvre, le jeune homme ne peut s’empêcher de lâcher un « ho putain » d’admiration devant ma tenue. C’est vrai qu’avec ma jupe super courte, mes bas, mes bottes hautes et ce petit trop qui en dévoile plus qu’il n’en cache, je dois être vraiment hyper bandante et je le sais. Je sais aussi que même s’il ne fera probablement rien, Zénon va bander toute la soirée en me regardant me faire matée, me faire draguée voir peut être même plus mais ça, il est peut probable qu’il le voit.
Arrivé sur place, c’est certain que ma tenue vestimentaire fait sensation, les regards lubriques et les commentaires cochons plus ou moins discret fusent de toute part ce qui a pour effet de m’exciter. Accompagnée de mon cavalier, je m’installe à une table réservée et je prend un verre puis deux puis trois et enfin monte sur la piste pour me trémousser seule devant Zénon qui m’admire. Seule, je ne le reste pas longtemps, juste quelques minutes puis une bande de mâles en chaleurs viennent vite m’entourée pour danser a mes côtés. Pendant que je me tortille sur la piste, je remarque deux femmes d’une petite quarantaine d’année installée à une table dans un coin éclairé par une petite lampe de chevet. Ces deux inconnues m’observent avec un regard encore plus vicieux et pervers que les mecs. C’était assez troublant mais aussi très excitant ce regard dans les yeux des femmes. L’une d’entre elle, celle qui avait l’air le plus sévère me fait un petit signe du doigt pour me demander de venir vers elle. Je m’arrête de danser et me fraie un chemin au grand désespoir des hommes qui m’entourent. J’arrive près de la table des deux femmes qui se présentent immédiatement.
- « Viens t’installée entre nous Sonia. »
Carole se recule un peu et me laisse une place alors je m’installe un peu timidement entre ces deux inconnues. La voisine de banquette a queue de cheval passe son bras derrière mon cou avant de se pencher vers moi en me regardant droit dans les yeux. Ces lèvres s’approchent a quelques centimètres de mon visage
Je suis assez surprise d’une question aussi directe de la part de cette femme mais j’en suis aussi assez excitée. Je ne lui ai pas encore répondu que je sens une main m’agripper les cheveux et tirer ma tête en arrière. C’est maintenant le visage de Mélissa, les dents serrées et l’air rageur qui est devant le miens.
- « Carole te demande si tu viens faire la petite pute sur la piste ? »
Je me contente de faire un petit geste de la tête toujours maintenue en signe d’approbation. Je sens la main de Carole se poser sur ma cuisse qu’elle caresse en remontant vers mon entre
jambes
- « Ecarte tes cuisses salope. »
Je ne me fais pas priée et doucement ouvre les jambes. Je sens les doigts de Carole qui s’insinue doucement dans ma petite fente.
- « Alors, on y va ? »
Elles me prennent toutes les deux par le bras et sans vraiment me demander mon avis m’emmènent à l’extérieur. Il est évident que je n’ai vraiment d’autre choix que de les suivre mais je ne me
sens pas vraiment forcée, j’ai très envie de continuer ce petit jeu. on s’avance vers un gros 4X4 noir stationné dans le parking. Je monte à l’arrière et les deux autres à l’avant.
- « On n’habite pas loin, dans dix minutes nous seront arrivées. »
En effet quelques minutes plus tard, le véhicule s’arrête devant une grande grille qui s’ouvre électriquement puis s’enfonce dans une petite allée d’une cinquantaine de mètres avant de se garer
devant une jolie maison ancienne.
Quand j’entre dans la maison et que les lumières s’allument, je constate qu’elle est décorée avec beaucoup de gout mais les deux autres femmes ne me laissent pas admirer la déco, elles me
prennent par le bras et me poussent dans le salon.
- « Assied toi. »
je m’installe dans un grand divan de cuir blanc. Je regarde autours de moi pendant que Mélissa et Carole s’absentent quelques minutes. La décoration du salon est à la fois classe et érotique avec
des objets et des sculptures dédiées à la volupté et à la sensualité.
Quand les deux femmes reviennent, je me rend de suite compte que je vais déguster mais dans le bon sens du terme. En effet, les deux inconnues jusqu’il y a peu sont nues et porte chacune un gode
ceinture autours de la taille. L’un est blanc et l’autre est noir et de très belle taille. Elles s’approchent de moi l’air sévère puis Carole me dit :
- « Suce salope. »
Elle m’attrape par les cheveux et m’enfonce son gode ceinture noir dans la bouche. Elle fait des mouvements de bassin comme si elle voulait baisée ma bouche si bien qu’elle en arrive presque a
m’étouffée tellement l’objet entre loin dans le fond de ma gorge. Pendant ce temps la, Mélissa me déshabille sans le moindre ménagement avant de prendre la parole :
- « Maintenant agenouille toi salope. »
je m’exécute et me retrouve à nouveau avec le gode noir dans la bouche pendant que l’autre femme me lèche la chatte trempée de désirs. Il n’a fallu que quelques courtes minutes avant que l’objet
blanc se plante dans ma chatte et que celle qui le porte me file de grand coup de rein puis elles changèrent les rôles encore et encore pendant près d’une heure entière je prend des coups de gode
violent dans tout mes orifices. Même mon cul y passe sans le moindre ménagement. Je prend mon pied plusieurs fois, il n’y a pas a dire mais ces deux femmes savent s’y prendre pour me faire jouir,
elles m’épuisent littéralement avant de me laissée dans le canapé pour que je les regarde s’occupé l’une de l’autre. Autant il y avait de la brutalité quand elles me baisaient, autant il y a de
la douceur et de la tendresse en elle. je comprend qu’elles s’aiment vraiment et qu’elles avaient juste envie de plaisir charnel et de domination envers une autre femme.
Lorsque je quitte la pièce après m’être habillée, les deux femmes ne se rendent même pas compte de mon absence. Je sors de la maison et téléphone à Zénon pour qu’il vienne me recherchée. En effet
quelques minutes seulement après l’avoir contacté, la voiture de mon copain est devant la grille. Celui-ci ne me pose aucune question sur le trajet du retours mais il voyait a l’expression de mon
visage et aux cernes qui le couvre que j’ai du prendre un pied d’enfer.
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