Non catégorisé

Jeudi 26 mai 4 26 /05 /Mai 10:23
  • -  « Je suis désolé chérie mais samedi je ne serai pas la, je dois aller voir un client dans le sud, je rentrerai dimanche matin. »
  • -  « C’est malin, tu sais que Pierre vient avec son copain Paul pour le week-end. »
  • -  « Oui, je suis désolé mais je ne peux pas y échapper. »
    J’ai un air désapprobateur mais au fond de moi cette situation ne me dérange pas tant que ça. Pierre est mon neveu par alliance, c’est le fils du frère de mon mari et il y a plusieurs moi que cette visite est prévue. Il avait demandé s’il pouvait prendre un copain avec lui pour passer le week-end. Bien sur, la maison est grande et on avait tout de suite accepté cette requête, cela mettrait de la vie dans la maison autant que deux jeunes hommes de 19 ans peuvent en mettre. Ils commence tout deux leurs études supérieurs dans le commerce et sont dans la même classe si on peut encore appeler les locaux ainsi.
    Le samedi venu Patric quitte la maison conjugale pour se rendre a son rendez vous dans le sud et je me retrouve seule. Je sais que les deux garçons ne vont pas tarder à venir alors je me prépare. Je m’habille sexy pour les recevoir mais pas trop provocante. Je me contente de mettre une jupe courte mais pas trop courte, mi cuisses et un chemisier décolleté juste ce qu’il faut avec un joli soutien. Je me regarde dans le miroir et me trouve désirable mais pas provocante comme j’aime tant l’être. Je ne veux pas mettre mes invités mal à l’aise dès leur arrivée. Vers 11h00 la sonnette retentit, ce sont eux. Je leur ouvre la porte et voit dans les yeux de Pierre et de Paul une certaine dose d’admiration. Le neveu fait les présentations et je leur dit d’emblé qu’ils doivent tout les deux m’appelée Sonia.
    Ils s’installent dans le salon et discute du voyage avant que la je ne leur propose de passer à la cuisine pour manger un morceau. Je passe devant les deux jeunes hommes et sens leurs regards se poser sur moi quand je marche alors je me retourne d’un coup et constate que je ne me suis pas trompée. En effet, mes deux invités sont aussi rouges que des pivoines, ils se sentent pris en flagrant délit ce qui a le don de m’amuser.
  • -  « Alors Pierre, tu as une petite amie ? »
  • -  « Ben heu non pas pour l’instant. »
  • -  «et toi Paul?»
  • -  « Moi j’en ai une depuis peu en réalité, elle s’appelle Anne. »
    Je
    vois très bien dans leurs yeux que ce genre de question les perturbe mais il fallait que j’en sache plus. je les questionnerais dans l’après midi.
    Le petit repas improvisé se passe tranquillement parlant de choses et d’autres les deux garçons lancent souvent des regards vers mon corps dès que j’ai le dos tourné ou que je regarde ailleurs. Je n’hésite pas non plus a en jouer en me dandinant un peu sans en avoir l’air et en me penchant à la première occasion pour leur donné une jolie vue dans mon décolleté.

- « Dis moi Paul, tu as déjà couché avec ta copine ? »
Le garçon était vraiment mal à l’aise avec cette question, il ne voulait pas avoué qu’il était puceau mais il n’avait pas non plus envie de mentir. 

  • -  « Non, pas encore. »
  • -  « Mais tu as déjà couché avec une autre fille ? »
    Voila la question qui tue pensa Pierre qui suit la conversation depuis l’autre coin de la table. Paul était de plus en plus intimidé par ce petit interrogatoire et ne savait quoi répondre. Il se dandine sur sa chaise comme un gosse qui ne sait pas répondre a une question de son professeur. 

- « Tu peux être franc avec moi tu sais Paul, je ne vais rien dire pour cela au contraire, je trouve ça tellement mignon un garçon toujours puceau. » 

Je sais très bien l’effet que ferait cette petite phrase qui semble tellement anodine mais qui est parfaitement choisie. Le jeune homme se lâche : 

- « Oui, c’est vrais, je n’ai pas encore eu de relation sexuelle. »
Je le regarde intensément dans les yeux avant de me lécher les lèvres en poussant un petit gémissement que je sais de plaisir. 

- « Et toi Pierre, tu as déjà baisé ? »
je fais exprès d’être plus crue, plus vulgaire pour ajouter encore du trouble dans l’esprit des deux invités et en plus j’aime parler de cette manière. 

  • -  « Ben heu non, j’ai pas encore fait l’amour. »
  • -  « Je ne te parle pas de faire l’amour mais de baiser..... »
  • -  « ben non, jamais. »
  • -  « J’ai donc deux puceau à la maison. »
    Les deux garçons font un oui gêné de la tête. Je leur souri et leur dit que je dois m’absenter pour l’après midi mais que la maison est à eux et qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Pendant mon absence, Paul parle très souvent de leur hôte avec Pierre. Il lui dit que sa tante est vachement bonne et qu’elle le fait bien bander. Son pote lui avoue que lui aussi, qu’elle le fait bander comme un âne. Ils ne manquent aucun des deux une occasion de faire une allusion à son sujet durant toute l’après midi.
    Il est 17h30 quand je reviens. Les deux garçons sont assis dans le divan et regarde la télé.
  • « Les garçons, j’ai commandé des pizzas pour le repas de ce soir, je monte prendre un bain, quand elles arrivent, prenez les, il y a de l’argent sur le meuble dans le hall. » 
  • Sans attendre leurs réponses, je monte dans la salle de bain et fait couler l’eau dans la baignoire.
    Dans mon bain chaud, je pense à ces deux jeunes hommes maintenant mais qui sont toujours puceau. Je me remémore aussi leurs regards sur mon corps, leurs attitudes maladroites, leurs messes basses certainement à mon sujet et toutes ces pensées me donne envie de les provoquer un peu plus ce soir.
    je sors de mon bain et passe dans ma chambre pour choisir la tenue adéquate. Je passe en revue les très nombreux vêtements que je possède et m’attarde sur une mini jupe rouge vraiment très courte et un top noir profondément décolleté. Je choisis des bas autos portant et une paire de cuissardes avec des talons vertigineux. Je me maquille outrageusement les lèvres d’un rouge très vif et les yeux d’un noir profond. Je me regarde dans le miroir et me dit que j’ai vraiment l’air d’une sacrée salope voir même d’une pute mais j’aime ca.
    Les deux invités se retournent vers moi en m’entendant descendre les marches de l’escalier et me découvre dans ma tenue des plus provocante. C’est Pierre qui ne peut s’empêcher de lâcher : 

- « Ho putain. »
Je m’approche en souriant l’air triomphant et regarde mon neveu dans les yeux : 

  • -  « Ca veux dire quoi ce ho putain que tu viens de dire ? »
  • -  « Non, rien, je suis désolé mais...... »
  • -  « Mais quoi ? Ne soit pas désolé, continue et dit moi le fond de ta pensée ? »
  • -  « Tu es vraiment bonne. »
  • -  « Hummmmmmm et toi Paul, tu me trouve bonne aussi ? »
    Le jeune homme ne pouvait décrocher ses yeux du décolleté tellement profond qu’il offre une superbe vue sur une grande partie de mes seins.

- « Oui, tu es vachement bonne. » 

Maintenant je me tourne pour me mettre dos à eux et me penche légèrement en avant mais étant debout et eux assis, je sais que vu la longueur de ma jupe, d’où ils sont, ils vont mater mon cul et pas seulement puisque je ne porte pas le moindre sous vêtement. Je leur dit alors d’une voix sensuelle voir même suave : 

  • -  « Et mon cul, vous en pensez quoi de mon cul ? »
  • -  « bandant, il est vraiment bandant ton cul. »
  • -  « Alors montrez moi, sortez les que je vois si vous bandez. »
    Les deux jeunes garçons ne se font pas priés, ils sortent leur queue raide comme du bois pendant que je les observe en me léchant les lèvres de désir. Je m’approche de mes deux invités, m’agenouille et prend leur bite dans chacune de mes mains pour les branler doucement. Je ne le fait pas longtemps, Je sais que s’ils sont puceau, ca va aller vite alors je me penche vers le sexe de Paul et je le lèche doucement avant de le prendre entièrement dans ma bouche. Pendant ce temps, je continue de masturbé Pierre de la paume de ma main puis j’inverse les rôles. Au bout de quelques courtes minutes, je me redresse toujours une pine dans chaque main et je les regarde tout les deux :
  • -  « Dites moi a quoi vous pensez ? »
  • -  « Ben heu, à rien.... »
  • -  « Si vous voulez que je continue, je veux exactement connaître le fond de ta pensée Pierre. »
  • -  « Je pense que tu es une belle salope. »
    En entendant cette réponse, je plonge de nouveau sur la queue du jeune homme pour le pomper plus sauvagement. En voyant cela, Paul prend la parole :

- « Elle aime se faire traiter de salope ta tante. »
Pierre ne tient plus, il décharge dans ma bouche et j’avale chaque goutte de ce précieux breuvage. Je me tourne maintenant vers l’autre garçon pour lui dire : 

- « Viens me baiser pendant que je fais rebander ton copain. »
Paul passe derrière moi et enfonce sa queue dans ma chatte maladroitement mais il la pénètre quand même et entame des mouvements de vas et viens. Quatre pour être précis car il éjacule aussi vite dans ma chatte en me traitant lui aussi de grosse salope. 

  • « Vous êtes des rapides les gars, j’aurais bien voulu vous avoir dans mon cul. » 
  • Rien que en branlant doucement ces deux jeunes gars et en prononçant ces mots, je constate qu’ils rebandent déjà doucement alors je reprend de plus belle : 

- « Vous allez m’enculée j’espère, me la mettre dans mon cul de pute. »
Il n’en fallait pas plus pour que les deux invités deviennent à nouveau durs comme une barre de fer. C’est Paul qui se lâche en premier : 

- « Oui sale pute, on va te la mettre dans le cul. »
Pierre se lève et vient se mettre derrière moi, il place son gland et aussi maladroitement que son copain, il pénètre mon cul dilaté d’excitation. Il commence à me limé pendant que je m’attaque à la bite de son copain avec la bouche. 

- « Alors vieille pute, tu la sens bien ma queue dans ton cul ? »
A 38 ans, je ne suis pas vieille mais par rapport à un type de 19 ans, ça m’excitant terriblement de me faire traitée de vieille pute. Paul reprend de plus belle : 

  • -  « Vas y pouffiasse suce. »
  • -  « Putain, elle est bonne, je vais encore jouir. »
    Sans plus attendre, Pierre jouit pour la deuxième fois et cette fois c’est dans mon cul et plus dans ma bouche. Son copain se lève :

- « C’est a mon tours de la lui foutre dans le cul maintenant. Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de putain. » 

Les deux garçons se lâchent complètement maintenant. Ils ne maitrisaient plus leur parole, ils étaient comme dingues d’excitation et j’aime ça plus que tout. 

Paul me met des grands coups de rein dans le cul sans ménagement, il souffle, il gémit puis il jouit lui aussi dans mon cul.
On s’écroule tout les trois dans le canapé puis je me lève : 

  • « Voila les gars, vous n’êtes plus puceaux maintenant. »
    Sur ces mots je pars dans la salle de bain pour prendre une douche avant de réchauffer les pizzas et de manger car la baise, ca creuse. Pendant le repas, personne ne parle de ce qui vient de se passer et personne n’en parlera jusqu'à ce que les deux jeunes hommes ne s’en retournent chez eux ou ils auraient un super truc a raconter à leurs copains. quand à moi j’ai pris mon pied et espère les voir revenir pour un week-end ou mon mari sera encore absent.

shutterstock 302131001(1)

Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 15 mai 7 15 /05 /Mai 12:14

cette photo de moi a été prise dans un magasin ou je faisais quelques courses

024C(1)

Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 8 mai 7 08 /05 /Mai 09:23

Etant en panne avec sa voiture, un jeune collègue, Xavier, me demande de passer le chercher pour aller au boulot. Comme c’est a peu près sur mon chemin, cela ne pose bien entendu aucun problème et c’est avec plaisir que je vais lui rendre ce service. Xavier travaille dans l’immeuble depuis un peu plus de 6 mois maintenant, il doit avoir une trentaine d’année, sportif, bien de sa personne, c’est un homme qu’on peut qualifier de charmant mais assez réservé. 

Quand j’arrive chez lui, je veux sonner mais je vois un petit mot sur la porte me disant d’entrer directement sans sonner. C’est évidement ce que je fais. J’ouvre doucement la porte et je découvre un petit appartement cosy, décoré de manière masculine mais avec beaucoup de gout ce qui ne m’étonne pas venant de ce genre d’homme qu’est mon collègue. Je vois ici et les des photos de lui pratiquant visiblement l’alpinisme, de là sont coté sportif certainement. Toujours sans faire de bruit j’avance vers une porte puis me ravise ne sachant pas qui se trouvait derrière celle ci. On ne sait jamais s’il avait quand même une femme dans sa vie…. Ou un homme qui sait…., c’est ce que j’ai pensé en me surprenant à sourire.

Soudain une autre porte derrière moi s’ouvre, je me retourne d’un coup et je vois Xavier occupé à s’essuyer la tête, il est totalement nu mais sa serviette étant devant ses yeux, il ne m’appercoit pas encore. Evidement, difficile pour moi de ne pas regardé son sexe qui pend entre ses jambes. Une queue d’une taille respectable avec une jolie paire de couille et une absence totale de poiles. Je pense que ce moment ne dure pas bien longtemps mais il me paraît tres long malgré tout avant que Xavier ne se rende compte de ma présence. Losqu’il me voit, il devient totalement rouge et tellement gêné qu’il ne pense même pas a couvrir son sexe.

  • « pardon, je m’excuses, je ne t’avais pas entendue, il y a longtemps que tu es la? »
  • « Juste assez longtemps » ce fut ma réponse en lui souriant.

Il me regarde d’un air interrogateur, il ne comprenant vraiment pas ce que je voulais dire alors je continue

  • « assez longtemps pour Matter ta bite »

C’est a cet instant qu’il se rend compte de la situation et d’un coup place sa serviette devant son sexe. Je m’approche alors de lui et tire d’un coup sur la serviette avant de prendre ses couilles à pleine main. Ca a pour effet de le faire bander de suite. Il ne proteste pas du tout alors je m’abaisse, il est maintenant dressé devant moi, la bite tendue. Je le tiens par les poignet et je lèche ses couilles lentement avant de remonter le long de sa queue avec le bout de ma langue. Je redescend et lèche à nouveau ses couilles puis remonte le long de sa queue bien tendue. Je lui fait cette caresse pendant plusieurs minutes et je sens a ces mouvement de poignet que je tiens toujours qu’il se crispe de plus en plus. Ilk doit avoir besoin que sa bite soit serrée dans ma bouche, dans mes mains ou même dans les siennes mais je ne le laisse pas faire. J’entend juste son souffle qui s’accélère puis je l’entend me dire : 

  • « j’en peu plus, faut que je te baise, j’en peu plus »

Il se défait de mon emprise et me pousse sur le canapé. J’écarte les cuisses pour qu’il matte bien ma chatte libre sous ma robe. C’est alors qu’il s’approche la bite à la maison, il se penche et viens me la mettre dans la chatte en me disant : 

« C’est ca que tu veux Sonia? »

« Oui vas y baise moi fort »

D’un coup sec il me pénètre et se retrouve tout au fond de moi. Il n’a eu aucun mal à entrer car j’étais trempée. Il ne commence pas lentement mais y va de suite par de grand coup de rein puissant et sans ménagement. Il grogne d’excitation et de plaisir mais ne dit rien, j’avoue que c’est un peu dommage mais certain hommes n’osent pas s’exprimer. 

Il ne lui a pas fallu beaucoup de va et vient avant de jouir dans ma chatte. Je pense même qu’il ne s’y attendait pas, il a déchargé tout au fond de moi dans un sale de jouissance. C’est a ce moment quand je l’ai sentis se vider en moi, quand j’ai sentis ces saccades de sperme que moi aussi j’ai jouis.

Il s’est alors retiré et et d’un air coupable m’a dit : 

« Je suis désolé d’avoir jouis aussi vite, j’ai pas eu le temps de ressortir »

« Mais c’est pas grave, c’est tres jouissif de te sentir te répondre en moi tu sais »

Il m’a conduite à la salle de bain pour refaire une petite toilette avant de partie au boulot. Dans la voiture on a pas reparlé de ce qui s’était passé mais j’avoue que j’ai pris du plaisir et c’est chouette le matin avant d’aller bosser.

097(1)
Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 1 mai 7 01 /05 /Mai 17:41

Je suis encore seule ce soir, Patrick est au foot, il a été invité par une firme avec la quelle il travail régulièrement alors ce genre d’invitation ne se refuse pas surtout pour un amateur de ce sport.
Heureusement, Zénon, un copain m’a proposé de sortir danser ce soir. J' en ai parlé à Patrick et comme il connaît Zénon, il ne voyait pas d’inconvénient à ce que je sorte avec lui pour aller danser. 

Je me prépare quand mon mari est parti. Je m’habille de manière super sexy car j’ai encore envie de faire bander des hommes ce soir. Il est probable que mon mari sera encore cocu ce soir, une fois de plus. Je tente quelques minutes de compter le nombre de fois qu’il a pu l’être mais je renonce très vite devant l’ampleur de la tâche qui m’attend si je m’acharne a vouloir comptabiliser mes amants d’un soir. 

Il est 21h00 quand mon ami se présente à ma porte pour venir me chercher. Quand je lui ouvre, le jeune homme ne peut s’empêcher de lâcher un « ho putain » d’admiration devant ma tenue. C’est vrai qu’avec ma jupe super courte, mes bas, mes bottes hautes et ce petit trop qui en dévoile plus qu’il n’en cache, je dois être vraiment hyper bandante et je le sais. Je sais aussi que même s’il ne fera probablement rien, Zénon va bander toute la soirée en me regardant me faire matée, me faire draguée voir peut être même plus mais ça, il est peut probable qu’il le voit. 

Arrivé sur place, c’est certain que ma tenue vestimentaire fait sensation, les regards lubriques et les commentaires cochons plus ou moins discret fusent de toute part ce qui a pour effet de m’exciter. Accompagnée de mon cavalier, je m’installe à une table réservée et je prend un verre puis deux puis trois et enfin monte sur la piste pour me trémousser seule devant Zénon qui m’admire. Seule, je ne le reste pas longtemps, juste quelques minutes puis une bande de mâles en chaleurs viennent vite m’entourée pour danser a mes côtés. Pendant que je me tortille sur la piste, je remarque deux femmes d’une petite quarantaine d’année installée à une table dans un coin éclairé par une petite lampe de chevet. Ces deux inconnues m’observent avec un regard encore plus vicieux et pervers que les mecs. C’était assez troublant mais aussi très excitant ce regard dans les yeux des femmes. L’une d’entre elle, celle qui avait l’air le plus sévère me fait un petit signe du doigt pour me demander de venir vers elle. Je m’arrête de danser et me fraie un chemin au grand désespoir des hommes qui m’entourent. J’arrive près de la table des deux femmes qui se présentent immédiatement. 

  • -  « Bonsoir, je suis Carole »
  • -  « Et moi Mélissa. »
  • -  « Bonsoir, moi c’est Sonia »
    Comme je l’avais vu depuis la piste les deux femmes devaient avoir une petite quarantaine, celle qui se prénommait carole avait un regard assez sévère mais elle était sexy, elle avait les traits fin et était vêtue visiblement d’un tailleur pantalon. Elle avait de longs cheveux chatains et était coiffée d’une queue de cheval. L’autre, Mélissa était visiblement un peu plus jeune, elle portait quand a elle un chemisier assez strict et une longue jupe de cuir noir.
    Pendant une seconde je me tourne vers Zénon qui m’observe depuis sa place, en fait il occupe une place de choix pour voir tout ce qui se passe a cette table.
    C’est Mélissa que prend la parole :

- « Viens t’installée entre nous Sonia. » 

Carole se recule un peu et me laisse une place alors je m’installe un peu timidement entre ces deux inconnues. La voisine de banquette a queue de cheval passe son bras derrière mon cou avant de se pencher vers moi en me regardant droit dans les yeux. Ces lèvres s’approchent a quelques centimètres de mon visage

  • « Alors, on vient faire sa petite pute sur la piste ? » 
  • - «Pardon?» 

Je suis assez surprise d’une question aussi directe de la part de cette femme mais j’en suis aussi assez excitée. Je ne lui ai pas encore répondu que je sens une main m’agripper les cheveux et tirer ma tête en arrière. C’est maintenant le visage de Mélissa, les dents serrées et l’air rageur qui est devant le miens. 

- « Carole te demande si tu viens faire la petite pute sur la piste ? »
Je me contente de faire un petit geste de la tête toujours maintenue en signe d’approbation. Je sens la main de Carole se poser sur ma cuisse qu’elle caresse en remontant vers mon entre jambes 

- « Ecarte tes cuisses salope. »
Je ne me fais pas priée et doucement ouvre les jambes. Je sens les doigts de Carole qui s’insinue doucement dans ma petite fente. 

  • -  « Elle est trempée cette petite pute, je pense qu’elle aime ca, on va se régaler. »
  • -  « Tu étais venu pour te trouver une bite et tu as dégotté deux maitresses qui vont  s’occupé de toi ma belle. »
    Les deux femmes avaient maintenant les mains plus baladeuses sur mon corps. Elles me caressent, me pelotent, me pincent même parfois. Je lève les yeux vers mon copain comme pour lui dire que tout va bien au cas où il s’inquiéterait mais ce n’est visiblement pas le cas. Il se contente d’observer le manège une main dans la poche et je le soupçonne de tripoter sa pine. Ce salopard est occupé a se branler en me matant me faire maltraitée par ces deux inconnues. Il est aussi vrai que Zénon me connaît et qu’il sait que je prend mon pied dans ce genre de situation.
    Une petite demi-heure se passe pendant la quelle je suis trempée d’excitation puis c’est carole qui dit a sa copine :

- « Alors, on y va ? »
Elles me prennent toutes les deux par le bras et sans vraiment me demander mon avis m’emmènent à l’extérieur. Il est évident que je n’ai vraiment d’autre choix que de les suivre mais je ne me sens pas vraiment forcée, j’ai très envie de continuer ce petit jeu. on s’avance vers un gros 4X4 noir stationné dans le parking. Je monte à l’arrière et les deux autres à l’avant. 

- « On n’habite pas loin, dans dix minutes nous seront arrivées. »
En effet quelques minutes plus tard, le véhicule s’arrête devant une grande grille qui s’ouvre électriquement puis s’enfonce dans une petite allée d’une cinquantaine de mètres avant de se garer devant une jolie maison ancienne.
Quand j’entre dans la maison et que les lumières s’allument, je constate qu’elle est décorée avec beaucoup de gout mais les deux autres femmes ne me laissent pas admirer la déco, elles me prennent par le bras et me poussent dans le salon. 

- « Assied toi. »
je m’installe dans un grand divan de cuir blanc. Je regarde autours de moi pendant que Mélissa et Carole s’absentent quelques minutes. La décoration du salon est à la fois classe et érotique avec des objets et des sculptures dédiées à la volupté et à la sensualité.
Quand les deux femmes reviennent, je me rend de suite compte que je vais déguster mais dans le bon sens du terme. En effet, les deux inconnues jusqu’il y a peu sont nues et porte chacune un gode ceinture autours de la taille. L’un est blanc et l’autre est noir et de très belle taille. Elles s’approchent de moi l’air sévère puis Carole me dit : 

- « Suce salope. »
Elle m’attrape par les cheveux et m’enfonce son gode ceinture noir dans la bouche. Elle fait des mouvements de bassin comme si elle voulait baisée ma bouche si bien qu’elle en arrive presque a m’étouffée tellement l’objet entre loin dans le fond de ma gorge. Pendant ce temps la, Mélissa me déshabille sans le moindre ménagement avant de prendre la parole : 

- « Maintenant agenouille toi salope. »
je m’exécute et me retrouve à nouveau avec le gode noir dans la bouche pendant que l’autre femme me lèche la chatte trempée de désirs. Il n’a fallu que quelques courtes minutes avant que l’objet blanc se plante dans ma chatte et que celle qui le porte me file de grand coup de rein puis elles changèrent les rôles encore et encore pendant près d’une heure entière je prend des coups de gode violent dans tout mes orifices. Même mon cul y passe sans le moindre ménagement. Je prend mon pied plusieurs fois, il n’y a pas a dire mais ces deux femmes savent s’y prendre pour me faire jouir, elles m’épuisent littéralement avant de me laissée dans le canapé pour que je les regarde s’occupé l’une de l’autre. Autant il y avait de la brutalité quand elles me baisaient, autant il y a de la douceur et de la tendresse en elle. je comprend qu’elles s’aiment vraiment et qu’elles avaient juste envie de plaisir charnel et de domination envers une autre femme.
Lorsque je quitte la pièce après m’être habillée, les deux femmes ne se rendent même pas compte de mon absence. Je sors de la maison et téléphone à Zénon pour qu’il vienne me recherchée. En effet quelques minutes seulement après l’avoir contacté, la voiture de mon copain est devant la grille. Celui-ci ne me pose aucune question sur le trajet du retours mais il voyait a l’expression de mon visage et aux cernes qui le couvre que j’ai du prendre un pied d’enfer. 

594364(10)
Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 27 avril 3 27 /04 /Avr 13:02

Nous sommes vendredi, j’ai fini journée et le frigo de la maison est vide. Il est presque 19h00 et je me précipite vers une grande surface pour faire quelques courses en me disant qu’il est heureux que le vendredi ce genre de magasin ferme à 20h00. Je descend au deuxième sous sol du parking et stationne ma voiture dans le fond pour avoir moins de manœuvre à effectuer puis me dirige vers l’ascenseur qui me mènera directement dans le magasin. Comme d’habite je suis habillée de manière très sexy, une jupe bien courte, des bas autoportants, des hauts talons et un chemisier bien provoquant. Cette tenue n’échappe d’ailleurs pas aux hommes qui se trouvent encore dans les allées. je sens très bien leurs regards se poser sur mon corps et je lis dans leurs yeux tout un tas de cochonneries qui leurs traversent l’esprit. Je n’hésite pas à me montrer provocante a chaque fois que j’en ai l’occasion. Je termine mes courses alors qu’une voix annonce la fermeture imminente. Je passe à la caisse assez rapidement car a cette heure et contrairement a mon arrivée, il n’y a maintenant presque plus personne. Je règle ma note et descend avec ma charrette dans le parking ou il n’y a plus que ma voiture. J’ouvre le coffre et commence a y placer les différentes marchandises que j’ai acheter. 

Quelques mètres plus loin, tapis dans l’ombre, un homme m’observe vicieusement. D’où il se trouve, il peut voir quand je me baisse dans son coffre, la limite de mes bas et même une partie de mon cul. Ce type qui m’a suivie discrètement dans les rayons du magasin puis ensuite jusqu'à ma voiture bande certainement comme un âne en m’observant. A pas de loup, il s’approche de moi et quand je me trouve a sa portée, il pose une main sur mon cul. Un peu surprise, je me redresse et me tourne d’un coup vers l’inconnu. Il est grand, plutôt costaud, de type magrébin, cheveux court, yeux noirs. Il me regarde avec insistance dans les yeux puis les baisse vers mes seins. 

Je ne panique pas le moins du monde en prenant la parole : 

  • -  « Je peux savoir ce que vous désirez ? »
  • -  « Je veux te baiser. »
  • -  « Comme ça, sans faire les présentation ? »
  • -  « Avec les tenues de pute que tu porte, c’est tout ce que tu cherche non ? »
    Je suis toujours très excitée par ce genre de discourt et de déclaration et cette fois ci, je ne déroge pas à la règle. Je sens mon sexe qui commence à mouiller de plus en plus quand cet homme pose une main sur mon sein droit. Le tissus est tellement léger que je sens très bien la chaleur de la paume de cet inconnu sur mon seins nu sous le chemisier comme souvent.
    - « Tu es à poil sous ta blouse salope. » 
  • - « Comme toujours. »
    - «Et sous ta jupe aussi?»
    Alliant le geste a la parole, il glisse sa main sous ma jupe 
  • - « Espèce de petite pute, tu n’as rien sous ta jupe. »
    Je
    lui souris et adopte un regard des plus coquin avant de m’abaissée et de dégagé la pine tendue de cet étranger qui me regarde médusé que les choses se passe ainsi. Lui qui imaginait devoir utilité la force pour me faire entendre raison, le voila bien surpris par ma réaction. A peine le sexe du gars est il sortit de son antre que je le prend dans ma bouche pour entamer une fellation dont j’ai le secret. Le mec n’en peut plus, il sent qu’il va jouir très vite mais il ne veut pas, il est là pour me baiser et il compte bien le faire même si je pensais pouvoir éviter ça en le faisant jouir avec ma bouche de suceuse. Soudain, il m’attrape par les cheveux et me redresse en disant : 

- « J’ai dit que je voulais te baisée sale pute. »
Brutalement, il me retourne et m’enfonce la tête dans le coffre. Je repose maintenant avec le ventre sur le bord de celui-ci. L’inconnu gémis, souffle, grogne. Il remonte ma jupe pour découvrir mon cul qu’il touche et pétris avec fermeté. 

- « Tu vas voir ce que tu vas prendre espèce de salope. »
Je ne répond pas mais je suis hyper excitée par ce traitement sans ménagement. je sens le sexe de l’inconnu se positionné à l’entrée de ma chatte, dans la position que j’adopte sans l’avoir nécessairement choisie, je sais que son sexe est à la hauteur idéal pour une bonne pénétration en profondeur. D’un coup sec ce mec m’enfonce la bite profondément en moi, je ne peux m’empêcher de gémir brouillemment. 

- « Tu aime ça salope ? »
Il me prend par les cheveux tout en me posant la question et comme je ne répond pas , il répète : 

  • -  « Alors pouffiasse, je t’ai demandé si tu aimais ça ? »
  • -  « hummmmmm ouiiiiiiiiii c’est bon. »
    Quand il entend la manière dont je lui répond, il se sent encore plus excité, il se redresse un peu plus, empoigne mes hanches de et commence a me limé rapidement et brutalement. Ces coups de reins sont de plus en plus rapide, de plus en plus fort. Le rebord du coffre me fait mal au ventre mais mon excitation et ma jouissance est trop grande que pour m’en plaindre. Ca ne dure pas longtemps avant que je ne sente mon baiseur inconnu ressortir de ma chatte détrempée et que je ne sente ensuite des jets tièdes venir s’écraser contre mes fesses nue sous des râles et des grognements de jouissances. Quand je reprend un peu mes esprits que j’avait légèrement perdu suite a une pénétration et une jouissance aussi brutale et que je me redresse, le ventre rougis par le frottement contre le rebord du coffre de ma voiture, l’étranger n’était plus là. je suis seule, la jupe relevée sur les hanches et les fesses couvertes de foutre. Je m’ajuste doucement puis remonte dans ma voiture épuisée.
    De retours chez moi, je suis soulagée de voir que mon mari n’est pas encore rentré, je pourrai prendre une douche et enlevé toute trace de sperme de mon cul avant que mon homme n’y mette la main. 

029(3)

Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus