Jeudi 21 avril 4 21 /04 /Avr 12:21

Un collègue, Jean, est amateur de voiture ancienne, surtout les petites deux place du genre MG. Il en avait vu une à vendre et avait été l’essayée. Lors de cet essais, Jean avait pu constater que le vendeur, un homme bedonnant d’une septantaine d’année était très porté sur la gente féminine. En effet, pendant la petite balade qu’il avait fais ensemble, le vendeur n’avait cessé de faire des commentaires à chaque fois qu’il voyait une femme sur le trottoir. mon collègue s’est alors dit qu’il serait bon de se faire accompagné d’une femme pour négocier l’achat de cette voiture. 

Samedi vers 10h00 du matin, Jean arrive chez le vendeur en ma compagnie. Bien sur, étant au courant du subterfuge, j’ai veillé à ce que ma tenue vestimentaire ne laisse pas indifférent le propriétaire de la voiture. Dès notre arrivée, je constate que je produis l’effet prévu. En effet, les compliments n’ont pas tardé lorsque Jean m’a présentée et les regards du vendeur étaient déjà très appuyés. 

  • -  « Mon amie voudrait pouvoir essayer la voiture ? »
  • -  « Vous savez que je ne laisse personne partir avec la voiture alors si elle veut l’essayer, je l’accompagne. »
    je regarde alors le vieux monsieur bedonnant et lui dit :

- « Ou est le problème, mon ami nous attendra ici. »
Je monte dans la voiture assez basse et ma jupe déjà très courte remonte encore au dessus de la limite de mes bas autos portant. Lorsque le vendeur monte a son tour dans la voiture, la vue que je lui offre ne lui échappe pas et il me matte sans vergogne tel un vieux cochon. Mon chemisier est largement ouvert et je sais que de la ou il se trouve, il peut aussi apercevoir le galbe de mes seins nu. Je sais que je fais de l’effet au vieux porc qui m’accompagne et ça m’excite. Pendant les deux ou trois premiers kilomètres, le vieil homme ne manque pas une occasion de faire une allusion cochonne et ses yeux restent braqués sur moi sans arrêt. Ensuite, il s’enhardi et pose une main sur ma jambe et je ne réagis pas, je le laisse faire. Il me caresse et monte de plus en plus haut avec sa main. 

  • -  « Alors, ça te plait de me pelotée vieux cochon ? »
  • -  « Oui et je sens que toi, tu es une petite salope. »
    Il prononce cette phrase en découvrant que je ne porte pas le moindre sous vêtement sous ma mini jupe. Sa main monte alors encore plus haut pour arriver a mon sexe dans le quel il fait entrer deux doigts. Maintenant, il me trifouille avec beaucoup d’agilité et d’expérience. Pendant ce temps, il est penché et a presque la tête dans mes nibards. Il est tellement assidu et excité par ce qu’il fait que le vendeur ne se rend même pas compte qua nous sommes revenus à notre point de départ. La voiture arrêtée, mon collègue regarde par la fenêtre ce qui se passe à l’intérieur de l’habitacle. Quand le vieil homme tout en sueur s’en rend compte, il s’arrête, extrêmement mal à l’aise et sort de la voiture sans savoir que dire. C’est le collègue qui prend la parole pour le soulager en disant :
  • -  « Alors, elle vous plait ma salope de copine ? »
  • -  « Ho putain oui, elle est vraiment bonne. »
    Sachant qu’il faut jouer mon rôle de couple à fond, je sors de la voiture, m’approche de Jean et je lui roule une pelle d’enfer tout en posant ma main sur sa queue pour la caresser un peu. Le vieux vendeur regarde la scène envieux et n’en rate pas une miette. Je dis alors à mon compagnon pour quelques heures : 
  • -  « J’adore cette voiture, elle est géniale, on l’achète ? »
  • -  « Je voudrais bien te faire plaisir chérie mais monsieur en demande un peu beaucoup. »
    Je me tourne vers le vendeur et lui lance un regard de véritable salope vicieuse ce qui trouble le vieil homme au plus haut point.

- « On peut peut-être s’arranger, suivez moi. »
Jean et moi le suivant dans la maison et on s’installe dans un vieux canapé en tissus usé. Le vieux monsieur s’installe juste en face de nous et Jean prend la parole : 

  • -  « Vous avez dit que nous pourrions peut-être nous arranger ? »
  • -  « Vous savez, j’ai septante ans et depuis toujours, j’aime lécher les chattes des femmes. Malheureusement, à mon âge les occasions se font tellement rares. » En entendant ces paroles, je n’hésite pas une seule seconde, j’ouvre largement les cuisses sous les yeux ébahi de mon collègue.

- « Alors vient me lécher puisque c’est ce que tu veux vieux porc. »
Le vendeur se précipite avec une agilité surprenante pour son âge en bas de son fauteuil et se retrouve très vite à genoux, la tête plongée entre mes cuisses. Pendant que l’un faisait minette, l’autre, Jean passe ses mains dans mon chemisier pour me tripoter les seins. Je mouillais comme une folle de me faire lécher de la sorte par un gros porc pendant que mon collègue me pelote. Profitant de la situation, Jean sort sa queue et la colle sans ménagement dans ma bouche et je ne peut rien faire d’autre que de me laisser faire. Aucun mouvement n’est possible pour moi alors c’est Jean qui fait lui-même les mouvements de vas et vient, qui baise ma bouche en disant : 

- « Suce salope. »
Ces paroles ont pour effet de faire lever la tête du vendeur qui voit que j’ai une bite dans la bouche. Une excitation hors norme s’empare de lui car c’est la première fois qu’il lèche une femme pendant que celle-ci suce la queue d’un autre homme alors il s’écrie : 

- « Quelle petite pute. »
Il se redresse et sort sa queue fripée de son pantalon pour se branler rapidement. J’en profite pour changer de position de manière à pouvoir sucer mon collègue avec application devant les yeux du vieux porc tout excité. Après quelques minutes de fellations en jetant de temps à autres un regard vicieux vers le vieil homme, Jean jouit dans ma bouche. Il décharge tellement que je me demande depuis quand il ne s’est plus vidé les couilles. Le sperme coule le long de mes lèvres et de mon menton pourtant je tente d’en avaler le plus possible mais la quantité est vraiment trop grande. Quand je me tourne vers le vendeur la bouche engluée, celui-ci décharge aussi mais beaucoup moins. Juste une petite coulée le long de sa pine mais je vois dans ces yeux qu’il prend son pied.
L’affaire s’est conclue dans une bonne ambiance et les deux parties ont trouvé leur bonheur. J’ai quand même avoué au vieux monsieur que Jean n’est qu’un collègue. Il s’en fou, il a vécu un moment inoubliable et il ne regrette rien. 

Allez c est partit(1)
Par ma-vie-vos-insultes - Communauté : Les insultes c'est excitant
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