Le samedi matin quand Patric quitte la maison pour aller une fois de plus travailler un jour de week-end, Il était de mauvaise humeur et triste de me laisser une fois de plus seule un jour de week-end d’autant plus que nous avions prévu d’aller faire du shopping ensemble.
Quand il est parti, je monte dans la salle de bain et me prépare pour aller faire du shopping seul dans une ville voisine.Je n’ai pas très envie de rencontrer des gens que je connais. Après une bonne douche vient le choix de la tenue. Comme d’habitude, elle est très courte et décolletée avec des bas-auto portants et une paire de botte. Je termine de me préparer en me maquillant de manière provocante avec un rouge à lèvre qui me donne une bouche pulpeuse à souhait. Quand je suis prête, j'enfile un long manteau et prend la route. Comme j’ai tout mon temps, je prend les petites départementales pour me balader car même s’il ne fait pas très chaud, le soleil est présent et c’est agréable de rouler sur des petites routes faiblement fréquentées.
Au bout de quelques kilomètres, un bruit strident retentit dans la voiture et une lumière rouge en plein milieu du tableau de bord s’allume puis c’est un message sur l’ordinateur de bord qui apparaît en stipulant qu’il faut s’arrêter dans le garage le plus proche.N’y connaissant pas grand-chose je m’arrête et décide de téléphoner à mon mari. Il me dit que la meilleur chose à faire est de me rendre dans un garage le plus proche possible du lieu ou je me trouve. C’est certainement la chose la plus prudente en effet alors je me met à la recherche d’un garagiste.
Le navigateur m’indique un village un peu plus loin, j’espère bien y trouver un atelier de mécanique automobile ouvert le samedi. Quand j’entre dans le village, il est presque 13h00 et je vois une vieille enseigne rouillée qui témoigne de la présence de l’objet de mes recherches. Je m’arrête dans la court, devant un grand volet sur le quelle une petite affichette précise les heures d’ouvertures. Manque de chance, le garage est fermé à midi. Je sors de ma voiture et me dirige vers la grande porte métallique sur la quelle je tambourine. Au bout de quelques secondes, j’entend une voix qui s’élève à l’intérieur :
- « Ouais, ça va, j’arrive. »
Une petite porte s’ouvre sur le côté et un grand type bedonnant d’une cinquantaine d’année apparaît.
- « Ok, ok, j’ouvre le volet, entré votre voiture, je vais regarder. »
Sans me laisser le temps de répondre, il se retourne et rentre immédiatement en claquant la porte. Le volet se lève ensuite dans un grincement métallique de film d’horreur. Le garagiste apparaît et me fait signe d’entrer ma voiture. A peine suis je à l’intérieur que le grincement recommence. Je sors alors de ma voiture pendant que l’homme me regarde en me souriant pour la première fois.
- « Juste de l’huile, il manque de l’huile dans le moteur, rien de catastrophique tant qu’on en remet, vous avez bien fait de vous arrêter. »
Il ouvre le capot de la voiture et file dans le fond de l’atelier. Pendant ce temps, profitant de la douce chaleur de l’atelier, je détache mon long manteau. Pour la première fois en revenait une cruche à la main, le mécanicien peut voir ma tenue. Par l’expression qu’il a dans les yeux et le petit souffle à peine retenu sortit de sa bouche, je constate qu’il n’est pas du tout indifférent à ce qu’il découvre. Tout en vidant l’huile dans le moteur il prend la parole :
- « Cela aurait été scandaleux de refuser de l’aide à une femme aussi jolie. »
Je ne répond pas à ce compliment mais l’apprécie beaucoup. J’aime plaire aux hommes et leur faire de l’effet.
Après avoir terminé et vérifié que tout est en ordre, le garagiste part se laver les mains. J’attend son retour pour lui demander :
- « Je vous remercie, combien vous dois je ? »
Il s’approche de moi et pose ces mains sur mes épaules par-dessous mon manteau et me dit :
- « J’ai envie de te la carrer dans le cul. »
Il a à peine terminé sa phrase que je bascule en arrière, il me tire vers lui, remonte mes jambes le plus haut possible pour me dégager le cul qu’il caresse avec son pouce. Sans le moindre ménagement, il présente son braquemart à l’entrée de mon anus et me pénètre d’un coup sec.
- « tu en veux encore grosse salope ? »
Il rebande tellement fort que ça en est jouissif pour moi. Il me baise la bouche de plus en plus fort, de plus en plus vite en s’agrippant à ma chevelure. A chaque coup de rein, j’ai envie de
vomir tellement il va loin mais ce traitement m’excite. je ne subis cette baise buccale que quelques minutes avant qu’il ne décharge à nouveau en me disant :
- « Tu vas t’en prendre plein la gueule sale pute. »
Je sens le liquide visqueux se répandre dans ma bouche et couler dans le fond de ma gorge pourtant c’est déjà sa deuxième éjaculation en peu de temps. J’avale tout consciencieusement avant de me
redressée pour faire face au mécano qui me dit :
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